Présentation générale lors du banquet des chefs étoilés
Quoi de mieux qu’un gâteau géant pour entamer les festivités ?
Ce fut en tous cas un véritable chef-d’œuvre pâtissier qui fût présenté vendredi soir à l’assistance présente pour la soirée d’inauguration officielle.
Un gâteau géant pour les 10 ans du chat
L’inauguration.
Samedi et dimanche, ils ont été 55 000 à battre le pavé dolois (à peine moins que l’an dernier où le record de 60 000 avait été battu) pour y déguster la multitude d’aliments et de breuvages proposés par les 160 exposants, producteurs, et artisans, au travers des différents sites dédiés à cet effet.
La ville de Dijon était l’invitée d’honneur de cette édition. Et nombreux ont été ceux à vouloir gouter le (fameux) Poulet Gaston Gérard, Place nationale, afin de profiter de cette « chouette » présence.
La Place nationale était animée.
Munis de notre pass gourmand, nous avons débuté par l’apéritif à la Médiathèque.
A nos côtés, des Marseillais s’exaltaient aussi de cette mise en bouche surprenante !
La suite s’est poursuivie avec la bouchée gourmande de le Cloître des Dames d’Ounans.
Certains ont préféré succomber à d’autres options…
Dès la fin de la matinée, il était déjà difficile de se frayer un passage au travers de la foule.
Des animations joviales étaient aussi organisées.
Certains artistes étaient plus remuants que d’autres !
L’occasion aussi de voir œuvrer les artisans dans des conditions réelles.
Le dessert était organisé (en musique) dans le Cloître du Collège de l’Arc.
Puis nous avons conclu par le café à la Visitation.
Non sans nous laisser tenter par quelques douceurs sucrées…
Le banquet des chefs étoilés et des Meilleurs Ouvriers de France
C’est ce que l’on fait de mieux en terme de raffinement gastronomique…
Comme d’habitude, le banquet des chefs affichait complet moins de deux heures après la mise en ligne des ventes.
Sur place, les élites des métiers de bouche s’activaient, avec passion et justesse.
Un spectacle admirable.
Précision et rapidité.
Synchronisation parfaite.
Les convives étaient ravis d’immortaliser ces instants exceptionnels.
Aucune pression pour les professionnels, dont les moindres gestes étaient pourtant scrutés par l’assistance.
