Construit à la fin du XVIIIe siècle, le presbytère d’Ounans a traversé les époques. Longtemps réservé au clergé, il avait été transformé dans les années 1970 en logements, avant de fermer définitivement ses portes en 2012. « Quand la communauté de communes nous a proposé d’en reprendre la gestion, le conseil municipal a accepté à l’unanimité, non pas pour en tirer profit, mais pour préserver notre patrimoine », a rappelé le maire lors de l’inauguration, du vendredi 3 octobre.
En 2022, le bâtiment a été cédé pour l’euro symbolique à la communauté de communes du Val-d’Amour (CCVA). Après des études de faisabilité, la décision est prise de transformer ce lieu emblématique en maison France Services, intégrée dans un projet plus large de revitalisation du centre-bourg.
Ainsi, le lieu représente un point d’accueil unique pour toutes les démarches administratives. Les utilisateurs peuvent y déclarer leurs impôts, demander leur retraite, actualiser leur couverture santé, percevoir leurs allocations familiales, s’inscrire à Pôle emploi, solliciter une aide au logement, remplir une formalité judiciaire ou encore obtenir un renseignement auprès de la Mutualité sociale agricole. Autant de services qui, hier encore, obligeaient à se rendre à Dole, Lons-le-Saunier ou Besançon, et qui sont désormais réunis sous un même toit.
Un accompagnement personnalisé
Les agents polyvalents assurent un accompagnement personnalisé. Ils prennent le temps de guider chaque usager, de vérifier la complétude des dossiers et d’expliquer les étapes à suivre. « Ici, on ne se contente pas de donner une brochure : on aide vraiment les gens à avancer dans leurs démarches », a rappelé le président de la CCVA, Étienne Rougeaux. Cette dimension humaine fait toute la différence, surtout pour les publics les plus fragiles ou les personnes âgées, souvent démunies face à la complexité administrative.
La maison France Services centralise aussi l’ensemble des opérateurs partenaires : la Caisse d’allocations familiales, la Mutualité sociale agricole, Pôle emploi, l’Assurance retraite, les Finances publiques et la Caisse primaire d’assurance maladie. Tous sont représentés à travers ce guichet unique, devenu l’interlocuteur direct entre les habitants et les grandes administrations.
Avec la dématérialisation des procédures, la fracture numérique est une réalité dans les campagnes. La maison France Services propose des ateliers pour apprendre à créer une adresse mail, utiliser les sites officiels, sécuriser ses identifiants ou réaliser une déclaration dématérialisée.
Construit à la fin du XVIIIe siècle, le presbytère d’Ounans a traversé les époques. Longtemps réservé au clergé, il avait été transformé dans les années 1970 en logements, avant de fermer définitivement ses portes en 2012. « Quand la communauté de communes nous a proposé d’en reprendre la gestion, le conseil municipal a accepté à l’unanimité, non pas pour en tirer profit, mais pour préserver notre patrimoine », a rappelé le maire lors de l’inauguration, du vendredi 3 octobre.
En 2022, le bâtiment a été cédé pour l’euro symbolique à la communauté de communes du Val-d’Amour (CCVA). Après des études de faisabilité, la décision est prise de transformer ce lieu emblématique en maison France Services, intégrée dans un projet plus large de revitalisation du centre-bourg.
Ainsi, le lieu représente un point d’accueil unique pour toutes les démarches administratives. Les utilisateurs peuvent y déclarer leurs impôts, demander leur retraite, actualiser leur couverture santé, percevoir leurs allocations familiales, s’inscrire à Pôle emploi, solliciter une aide au logement, remplir une formalité judiciaire ou encore obtenir un renseignement auprès de la Mutualité sociale agricole. Autant de services qui, hier encore, obligeaient à se rendre à Dole, Lons-le-Saunier ou Besançon, et qui sont désormais réunis sous un même toit.
Un accompagnement personnalisé
Les agents polyvalents assurent un accompagnement personnalisé. Ils prennent le temps de guider chaque usager, de vérifier la complétude des dossiers et d’expliquer les étapes à suivre. « Ici, on ne se contente pas de donner une brochure : on aide vraiment les gens à avancer dans leurs démarches », a rappelé le président de la CCVA, Étienne Rougeaux. Cette dimension humaine fait toute la différence, surtout pour les publics les plus fragiles ou les personnes âgées, souvent démunies face à la complexité administrative.
La maison France Services centralise aussi l’ensemble des opérateurs partenaires : la Caisse d’allocations familiales, la Mutualité sociale agricole, Pôle emploi, l’Assurance retraite, les Finances publiques et la Caisse primaire d’assurance maladie. Tous sont représentés à travers ce guichet unique, devenu l’interlocuteur direct entre les habitants et les grandes administrations.
Avec la dématérialisation des procédures, la fracture numérique est une réalité dans les campagnes. La maison France Services propose des ateliers pour apprendre à créer une adresse mail, utiliser les sites officiels, sécuriser ses identifiants ou réaliser une déclaration dématérialisée.
Un lieu de vie et de convivialité
Le projet ne se limite pas aux démarches administratives. L’ancien presbytère accueille désormais un relais petite enfance, un lieu d’accueil parents-enfants, un espace de vie sociale et des activités pour la jeunesse. Grâce au soutien de la Caf et de la MSA, le site s’est équipé de mobilier, d’un espace sensoriel, d’une salle de jeux, mais aussi d’équipements plus originaux comme une console de jeux ou un barbecue, afin de favoriser les temps conviviaux.
Le chantier, lancé en 2024 a représenté un coût global de 1,5 million d’euros. L’État a financé 40 % du projet via le Fonds vert, la Région 20 % à travers le dispositif Territoire en action, l’Union européenne 10 % via le Feder. La Caf et la MSA ont contribué aux équipements destinés à la petite enfance et à l’espace social.
Le projet ne se limite pas aux démarches administratives. L’ancien presbytère accueille désormais un relais petite enfance, un lieu d’accueil parents-enfants, un espace de vie sociale et des activités pour la jeunesse. Grâce au soutien de la Caf et de la MSA, le site s’est équipé de mobilier, d’un espace sensoriel, d’une salle de jeux, mais aussi d’équipements plus originaux comme une console de jeux ou un barbecue, afin de favoriser les temps conviviaux.
Le chantier, lancé en 2024 a représenté un coût global de 1,5 million d’euros. L’État a financé 40 % du projet via le Fonds vert, la Région 20 % à travers le dispositif Territoire en action, l’Union européenne 10 % via le Feder. La Caf et la MSA ont contribué aux équipements destinés à la petite enfance et à l’espace social.
