Adélaide Rangan fait ses mises au point

Une passion comme chevillée au corps.

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Adélaîde devant quelques dessins!

Non ce n’est pas banal de s’appeler Adélaïde Rangan, d’avoir 22 ans à Saint-Claude, de travailler en accueil de loisirs de la cité, d’être avant tout passionnée de dessin depuis sa plus tendre enfance et plus particulièrement de pointillisme, et de vouloir s’exprimer dans cet art en y étant vue et entendue. Certes voilà un portrait dépeint à grands traits, mais terriblement proche de la jeune personne très lumineuse que nous avons rencontrée ce jour d’octobre rue Pasteur.

Pointillisme, dites-vous ?

Si la passion est bien souvent le moteur suprême de l’action, c’est bien le cas de cette jeune artiste, qui a commencé dès l’âge de 13 ans par assembler traits à traits des dessins au papier, pour passer très vite à une organisation plus subtile des figures point par point et découvrir ainsi le pointillisme.
« Je suis tombée amoureuse de cette technique et je n’ai jamais arrêtée», avoue-t-elle. Les peintres Paul Signac et surtout Georges-Pierre Seurat sont d’ailleurs les deux plus célèbres papes français de cet art du dessin.
Par l’accumulation harmonieuse de points noirs et blancs et de couleurs différentes, du relief apparaît sur le dessin, ainsi que des contrastes, des ombres, des éclairages et un rendu général plutôt spectaculaire. Tel est l’art découlant de cette technique au demeurant assez confidentielle dans le débat artistique commun.
Adélaïde aimerait bien donner plus de lumière à cette technique et à la manière d’utiliser ses stylos à pointe plus ou moins fine, qu’elle emploie, afin de vulgariser plus encore ces propres dessins.

Contacts : Facebook : Adelaide Rgn  et  Instagram : adelaide.rgn.