C’est devenu un réflexe. Lorsque nous préparons un voyage, au moment de réserver les hôtels (ou pour aller dans les restaurants), nous regardons les avis des autres clients sur Internet. Quand l’expérience est excellente (ou très mauvaise), j’aime contribuer aussi à ces notations.

Et ce jour-là, au Maroc, c’était un sans-faute pour cet hôtel. Vraiment génial ! Thé à la menthe offert en arrivant. Chambre spacieuse et confortable. Propreté nickel. Personnel agréable. Petit-déjeuner excellent. Vraiment, cela méritait un très bon 10/10. Jusqu’au moment de partir…

Sur le départ, après avoir réglé, le gérant nous demanda de lui rédiger un avis sur-le-champ. Bon, je n’apprécie guère que l’on demande, mais soit, il faisait son travail après tout. Nous refusâmes poliment. Nous lui répondîmes que nous le ferions plus tard puisque nous n’avions pas le temps (c’était vrai en plus). Lui pensait probablement que c’était un moyen de nous défiler. Et sincèrement, nous voulions en mettre un au vu de la qualité du service. Et là, il insista. Encore et encore. Il ne voulait pas nous laisser sortir de son hôtel tant que nous ne lui avions pas montré le commentaire positif rédigé. Ridicule !

Résultat : nous sommes donc partis et aucun commentaire n’a ensuite été laissé. La prochaine fois, il faudra être plus subtil. Comme à Lyon, où les réceptionnistes d’un hôtel nous donnèrent des cookies en partant, nous invitant à leur laisser un commentaire positif.