Ce fut une saison assez moyenne, malgré du beau temps et une canicule importante, sans doute due au manque de communication sur les travaux ?
Malgré cela, les fidèles des tout premiers débuts (années 90) étaient venus se joindre à l’équipe de maitres-nageurs dirigés par Maxence Couret et employés par la société Woka (gérante actuelle du site), accompagnés des personnels de surveillance et ceux du « pôle restauration et boissons » ; en tout ce sont une quarantaine de personnes qui se sont retrouvées dernièrement.
Sur place, bon nombre s’interrogeaient :
« Pourquoi fermer début septembre alors qu’il reste encore de beaux jours à venir et que la fin de l’été est bien le 21 septembre ? ».
Ou encore : « Pourquoi avoir fermé un bâtiment quasi neuf (6 ans) avec toutes les commodités et de surcroit un accès pour les personnes à mobilité réduite tout en stoppant en plus l’accès aux douches en extérieur ? »
Pour l’ensemble des parties prenantes, cela occasionne une perte de convivialité. De plus ce qui revient le plus souvent ce sont les dates auxquelles les travaux seront réellement terminés…
Un grand merci de tous aux « anciens » !
C’est Myriam Bouchard, l’une des plus anciennes habituées du lac d’Osselle, (bien avant tous les changements et qui a vu défiler quelque six gérants) qui avait pris les choses en mains et qui était venue, simplement et gracieusement pour le plaisir d’offrir, à la soirée les mains pleines d’excellents produits qu’elle sait, seule et de l’avis de tous, si bien cuisiner. Malgré les quelques désagrément rencontrés, il n’en demeure pas moins que le site demeure un endroit de réjouissances et tout le monde attend l’an prochain avec de nouvelles infrastructures.
Et pour la suite ?
Un appel d’offre, dont le Pouvoir adjudicateur et l’entité adjudicatrice est la CAGB, est en cours pour l’avis de concession pour 5 ans du site sous l’annonce N° 23-99849.
La société Woka, actuellement en charge est bien sûr sur les rangs des prétendants. L’étendue du marché se base sur la gestion, l’exploitation et l’animation de la base de loisirs/camping dans le cadres des missions définies au contrat et ce, avec une valeur HT estimée à 2 millions d’euros…
Il est à noter que le Grand Besançon demande à ce que les tarifs ne changent pas !
A suivre donc dès les décisions prises suite à cette procédure (AMP) obligatoire.