Le froid gagne de plus en plus la Franche-Comté. Alors, pour jouer les prolongations de l’été, nous passâmes un week-end sur la Côte d’Azur. De quoi gagner quelques degrés ! Depuis l’aéroport de Genève, il faut moins d’une heure pour rejoindre celui de Nice (Alpes-Maritimes). De là, nous prîmes le train pour visiter quelques villes du littoral. Arrêt à Menton, célèbre pour ses citrons. Petit tour ensuite à Monaco, avec l’incontournable Musée océanographique. Le lendemain : découverte d’Antibes (avec le musée Picasso) et de Nice. Un séjour se terminant par une balade sur la promenade des Anglais. Et voilà que l’heure de rentrer en Franche-Comté était là !

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Comme recommandé, nous arrivâmes à l’aéroport au moins deux heures avant le décollage (prévu vers 21h00). Après avoir beaucoup attendu, puisque notre vol prit du retard, il était bientôt l’heure d’embarquer. Et c’est là qu’une femme, agacée et angoissée, commença à se faire ses films. « Il n’est plus possible de se poser après minuit et demi à Genève. Si on prend trop de retard, ils vont nous dérouter sur Lyon, comme la dernière fois. Non, moi, je ne monte pas si c’est comme ça ! », disait-elle, cherchant désespérément des soutiens parmi les passagers pour mener une rébellion. Au moment de l’embarquement, elle en toucha un mot à une agente de l’aéroport de Nice qui, évidemment, n’en savait rien. Elle s’énerva presque sur elle. Trop souvent, certaines personnes ciblent des gens non responsables d’une situation, les accusant de tous les maux. Il faut faire preuve de discernement ! Au final, nous arrivâmes à l’aéroport de Genève à 23h30. Cette femme avait fait une scène en prévision d’une situation qui n’arriva jamais.

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