Le CSL doit trouver de nouveaux moyens

« Pérenniser le club en fédérale 2 passe par des recrutements à ce niveau », illustre par exemple le président, Joël Tomakpleconou.

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Jusqu'à 2 700 personnes assistent au match du CSL.

« Cette année de montée tant espérée va générer beaucoup de travail de nos joueurs pour maintenir ce niveau », annonce Joël Tomakpleconou. Le président du CSL se réjouit car la poule est plutôt régionale et qu’il y aura beaucoup de derbys. « Mais il n’y a pas que l’équipe première, il y a aussi les jeunes, l’école de rugby, le centre labellisé… » Tout cela nécessite une énergie folle. Pas de quoi inquiéter les bénévoles, les éducateurs, les partenaires…, ils savent relever tous ces défis.
Ils savent aussi qu’il leur faudra davantage de moyens. « Pérenniser le club en fédérale 2 passe par des recrutements à ce niveau. Nous avons des jeunes Lédoniens qui montent, des jeunes de clubs à côté aussi… C’est pour nous une fierté. » Donner plus que du sport, donner des valeurs, aider à travailler, trouver un stage… sont autant d’objectifs partagés par l’équipe. Le président aime à répéter que « le club ne doit pas être un lieu où on dépose son enfant mais un lieu de vie ».

Une politique d’emploi

Le CSL recherche également des partenaires capables d’absorber avec lui une politique d’emploi. Le club compte déjà quatre salariés. Il souhaite avancer sur son projet de bâtiment travaillé depuis déjà trois ans. Les collectivités doivent se positionner prochainement sur le dossier.
Joël Tomakpleconou aime à rappeler que le premier partenaire du club aujourd’hui, « ce sont les bénévoles ! Au nombre de 70, ils génèrent 25 % du budget ».