Ses derniers bilans sont positifs.
La Fédération nationale de l’hôtellerie de plein-air continue de tirer la sonnette d’alarme. En effet, depuis 2000, la France est passée de 9 000 à 7 400 terrains aménagés. La FNHPA explique cette chute (qui ne touche pas les autres pays européens) par « des contraintes environnementales, climatiques et réglementaires qui bloquent toute création de nouveaux établissements et limitent la capacité des campings à s’adapter aux évolutions du marché ».
Pour « préserver les lits touristiques », un appel à projets a été lancé l’an dernier par la Banque des Territoires. Elle a mis à disposition une enveloppe d’un million d’euros sur deux ans pour sauvegarder et moderniser des petits campings de moins de 70 emplacements.
79 % des Français ont une bonne image du camping et autant estiment qu’il permet aux personnes en difficultés financières de partir en vacances malgré tout (sondage Ifop).