Cette fois-ci, direction la Géorgie. Pays de naissance de Joseph Staline (à Gori précisément), ancienne république socialiste soviétique, située dans le Caucase, entre la Russie et la Turquie/Arménie/Azerbaïdjan. Un pays dont la capitale, Tbilissi, vaut vraiment le détour (le pont de la Paix est par exemple magnifique) !
Départ de la capitale pour le nord du pays. Une excursion jusque dans les montagnes du Caucase, à la frontière avec la Russie. La guide nous déconseilla formellement de poursuivre notre route dans le pays de Poutine… Pour des raisons évidentes…
Visite de l’église de la Trinité de Guerguéti vers Stephantsminda, peu avant la frontière. Petit arrêt ensuite au monument de l’amitié russo-géorgienne avec sa splendide mosaïque soviétique. Repas à la campagne, dans une famille géorgienne, où nous apprîmes à faire des khinkalis (sorte de raviolis géorgiens). Puis, nous allions visiter la forteresse d’Ananouri, perdue au milieu de nulle part, lorsqu’une tempête de grêle s’abattit sur la route. Et là, le pressentant, le chauffeur de la voiture sortit vite du véhicule. Il nous demanda aussitôt les tapis de la voiture, situés sous nos pieds… Les tapis ? Oui, il les posa sur son pare-brise afin d’amortir le choc des grêlons. Évidemment, à ne pas reproduire lorsqu’il grêle déjà. Mais sur le coup, je trouvai l’idée particulièrement brillante. Ce qui nous empêcha d’être bloqués au milieu de la campagne géorgienne.
Amis Francs-Comtois, la prochaine fois que de la grêle est annoncée, vous saurez comment tenter de protéger votre voiture. Merci les Géorgiens !