19 patients ont passé la nuit dans les couloirs sur des brancards, 1 patient est décédé « en raison d’une prise en charge non adaptée » : journée tout à fait « normale » aux urgences de Lons !
Christophe Prudhomme, porte-parole de l’AMUF (Association des Médecins Urgentistes de France), a appelé les élus et les jurassiens à dire « stop » au massacre et à manifester prochainement à Dijon contre la suppression programmée du 2e équipage de Smur .
500.000 € à 1 million €/ an : c’est le coût de cette 2e ligne de Smur qui sauve au moins 40 vies par an selon les urgentistes. Votre vie, la vie de vos parents ou de vos enfants ne vaut pas cher, selon les estimations comptables de l’Agence Régionale de Santé (ARS).