Lons-le-Saunier. Municipales : Jean-Philippe Huelin présente ses premiers soutiens

Il s’agit de Catherine Clerc, conseillère régionale et municipale, et Jean-Luc Petot.

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Jean-Philippe Huelin
De gauche à droite, Jean-Luc Petot, Jean-Philippe Huelin et Catherine Clerc.

Il a été le premier à déclarer sa candidature aux prochaines municipales en mars 2026. C’était il y a déjà un an. Jean-Philippe Huelin poursuit son travail pour « mettre en mouvement une équipe de personnes compétentes, soucieuses de l’avenir de notre ville et capables de proposer un projet réaliste et ambitieux pour notre agglomération ».


Il vient de présenter deux premiers noms qui seront à ses côtés sur la liste « Agir pour Lons » : Catherine Clerc et Jean-Luc Petot. La conseillère régionale et municipale, qui a déjà assuré plusieurs mandats auprès de Jacques Pélissard, « apprécie particulièrement les qualités de rassembleur, de travail acharné et de visionnaire » de Jean-Philippe Huelin.

Jean-Luc Petot, connu notamment pour son investissement dans le rugby, ne s’engage pas « en politique », il « s’engage aux côtés de Jean-Philippe Huelin. Porté par son expérience politique solide, sa connaissance de l’histoire locale et sa vision humaniste, il saura rassembler et animer une équipe pour le Lons de demain, un Lons qui gagne et qui va de l’avant ! ».

Premières propositions

Le candidat en a profité pour présenter ses premières propositions. « Je crois que le regain d’intérêt pour la vie publique ne reviendra qu’avec des consultations régulières de nos concitoyens, aussi je propose d’organiser chaque année un référendum municipal à l’occasion duquel chacun pourra dire oui ou non aux grandes questions de la vie municipale. »

Pour les élèves des écoles primaires, il propose de travailler à la mise en place de la semaine dite allemande : les matinées pour les savoirs fondamentaux, l’après-midi pour le sport et la culture.

Sur le bien vieillir

« Contrairement au maire sortant, je ne suis pas favorable à la construction d’un nouvel Ehpad de 150 lits accompagnée de la fermeture d’Edilys et de la Châtelaine à Montmorot. Finir ses jours dans un Ehpad de 150 lits, personne n’en a envie. » Jean-Philippe Huelin pense au contraire qu’il faut réhabiliter les Ehpad de centre-ville et la résidence-autonomie du cours Colbert. « Il faut aussi inventer des structures nouvelles, petites, insérées à nos quartiers, proche des commerces et de l’animation des rues. Bien vieillir chez soi le plus longtemps possible, c’est ce que chacun souhaite et nous y travaillerons. »

De beaux débats en perspective…