Nous venons de rentrer de Chine, où nous avons passé quelques jours en septembre-octobre. Au programme à Beijing (la capitale), balade sur la grande muraille (très impressionnante : l’une des sept merveilles du monde quand même !) et promenade dans la Cité interdite. Puis, train de nuit pour Xi’an, l’ancienne capitale du pays, où nous avons notamment apprécié marcher sur les remparts de la ville, ainsi que l’armée de terre cuite. Petit clin d’œil aussi au personnel du Sofitel, qui nous a vraiment bichonnés dans notre suite. Le plus surprenant fut toutefois l’atmosphère de Shanghai, où nous terminâmes le voyage, avant de prendre un TVG pour Beijing. La ville est tellement belle. Bref !

Ce qui nous frappa, outre la beauté des paysages et la différence culturelle, ce fut l’air. À Beijing, lorsque nous y étions, respirer, notamment dans le métro, était synonyme de petits picotements dans le nez. Alors, quand nous sommes arrivés à Besançon et que nous sommes sortis de la gare. Sincèrement, l’air était tellement… agréable, frais, bon. Je prenais vraiment plaisir à respirer. Et pourtant, il n’y a rien de plus commun que de le faire. Maintenant j’attends avec impatience de respirer le doux air de la campagne jurassienne. Notre air, une richesse à préserver !